Page:Edgeworth - L Absent tome 1.djvu/192

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manière dont elles étaient gouvernées.

« En vérité ! Terry, je sais que je dois vous être fort obligé ; mais une saisie-exécution, même d’accord parties, est une chose fort désagréable, et j’espère qu’il n’y a point de danger… »

« N’ayez peur ! » dit sir Térence, « ne m’a-t-il pas fallu m’ingénier, pour moi ou pour mes amis, depuis que je suis arrivé à l’âge de gouverner ma fortune ; je devrais dire à l’âge de raison, car le diable sait où je possède un pouce de terre ; mais l’usage m’a passablement aiguisé l’esprit, et fort à votre service. — Ainsi, ne craignez rien, mon cher lord, » dit le baronnet sans soucis, en mettant les poings sur les côtés, « car, voyez-vous, dans sir Térence vous avez toute une armée qui ne demande qu’à livrer bataille à tous les créanciers incivils, dans les trois royaumes réunis, y compris le juif Mordicai. »

« Ah ! c’est le diable, que ce Mordi-