en voiture. « Rentrez chez eux, » dit-il au postillon, « et demandez-leur, en cas que je sois forcé de rester encore un jour ou deux dans le pays, s’ils veulent me permettre de revenir ce soir coucher chez eux. — Restez, attendez un moment — Tenez, donnez cet argent à la bonne femme. »
Le postillon alla et revint.
« Elle ne veut pas absolument ; j’étais sûr qu’elle ne voudrait pas. »
— « Eh bien donc, je lui suis obligé de m’avoir logé une nuit ; je n’ai pas droit d’en espérer davantage. »
— « Qu’est-ce que c’est ! assurément elle m’a dit de vous dire que vous seriez le bien venu, que vous étiez un bon monsieur, et que vous aviez un excellent cœur. Mais voici l’argent ; c’est cela que je vous ai dit qu’elle ne voulait pas. »
— « Je vous remercie. À présent,