— « Fort bien, milord, vous savez mieux que moi ce que vous avez à faire ; si vous voulez vous charger de la dette, je trouverai la sûreté très-bonne. Je sais que vous serez majeur tout-à-l’heure, je ne ferai point d’objections ; mais, » ajouta-t-il d’un air de malice, « je crains que vous ne sachiez pas très-bien ce que vous entreprenez ; tout ce que je puis vous dire, c’est que la balance de compte entre nous n’est pas ce qu’on peut appeler proprement une misérable considération. »
— « Il est possible, monsieur, que vous et moi soyions sur ce point d’opinion différente. »
— « Fort bien, milord, vous agirez d’après vos principes, si cela vous convient. »
— « Que cela me convienne ou non, monsieur, je serai fidèle à mes principes. »