Page:Edgeworth - L Absent tome 3.djvu/189

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gneur qui en possédât encore quelques-uns de cette espèce. — « Allons donc, Hannibal, couche-toi,» dit le comte. « M. Reynolds, quoique nous soyons pour vous des étrangers, nous avons pris la liberté de nous présenter…

« Je vous demande pardon, monsieur, » dit M. Reynolds en l’interrompant. « Mais vous ai-je bien compris quand j’ai entendu qu’on pouvait s’en procurer quelques-uns de cette espèce chez un seigneur Irlandais ? Dites-moi, je vous prie, comment vous l’appelez,» ajouta-t-il en prenant son crayon.

Le comte écrivit le nom et le lui remit, en observant qu’il avait seulement avancé que ce seigneur possédait encore quelques-uns de ces chiens, mais qu’il ne répondait pas, pour cela, qu’on pût s’en procurer chez lui.

« Oh ! j’ai des moyens pour cela, » dit le vieux Reynolds, en frappant sur sa