Page:Edgeworth - L Absent tome 3.djvu/24

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— « Quant à cela, milord, je ne prétends contredire rien de ce que vous avancerez d’après votre propre autorité : à quoi bon ? Vous direz tout ce que vous voudrez ; mais comme il n’est pas fort agréable d’entendre dire du mal de soi, je vous serai fort obligé, sir Térence, de me donner mon chapeau qui est auprès de vous. — Et si vous avez la bonté, milord Clonbrony, d’examiner, pour la dernière fois, ces comptes dans la matinée, je reviendrai à l’heure qui vous sera convenable, pour ajuster la balance comme vous le jugerez à propos. Quant aux baux, je ne m’en soucie nullement. » En achevant ces mots, il reprit son sac.

« Fort bien, vous reviendrez dans la matinée, M. Garraghty, » dit sir Térence, « n’est il pas vrai ? et d’ici là j’espère que nous comprendrons un peu mieux ce mal entendu ? »