comme nous le sommes maintenant, et attendre tout de la générosité d’un bon fils. Maintenant tirez de peine votre pauvre père, et dites-nous, mon cher, ce que vous voulez faire.
« En un mot, » dit lord Colambre, « et à deux conditions, je me joindrai à mon père pour le mettre en état de vendre ou d’hypothéquer une portion de ses biens, suffisante au paiement des dettes ; ou j’adopterai telle autre méthode plus avantageuse ou plus agréable pour lui, qu’il m’indiquera, pour donner des sûretés à ses créanciers. »
« Voilà qui est noble et grand, » s’écria sir Térence. Il n’y a qu’un Irlandais qui soit capable d’agir ainsi. »
Lord Clonbrony, ému jusqu’aux larmes, ne put articuler une parole, il ouvrit ses bras pour y recevoir son fils.
« Mais vous n’avez pas encore en-