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qu’il est tout-à-fait incapable d’écrire un mot sur tout ce qui nous concerne. N’est-ce pas là, rendre un grand service à mon pays et à mon cher cousin ?
Lord Kilrush eut beau faire ; ses remontrances ne purent modérer la raillerie piquante et l’intarissable gaîté de lady Géraldine.
Tandis qu’elle traitoit ainsi le véritable milord Craiglethorpe, miss Tracey faisoit de délicieuses promenades avec M. Gabbitt, dont elle étoit charmée. C’étoit plus que lady Géraldine n’en avoit désiré, et elle auroit eu la bonté de rompre l’enchantement, si elle n’eût été choquée de l’entremise de lord Kilrush, et de la sensibilité affectée de miss Clémentine Ormsby qui, pour donner une haute idée de sa délicatesse, intercéda vive-