composé, moitié des minauderies d’une jolie femme, moitié de l’affectation d’un bel esprit, parloit de M. Devereux, qu’elle prétendoit protéger et produire.
Ici Devereux ! dit-elle, Cécil Devereux ! À quoi pensez-vous donc, c’est à vous que je parle. Voici l’épitaphe de la belle Laure, par François Ier ; j’en rafolle, il faut absolument me la traduire : personne ne peut le faire mieux que vous ; moi, je n’en ai pas le temps, mais je ne dormirai pas cette nuit, si je ne l’ai pas. Allons, vous avez tant de facilité ; asseyez-vous une minute, et travaillez, tandis que j’irai faire ma toilette. Vous ne savez peut-être pas que je m’appelle Laure, dit-elle, en quittant la chambre, d’un air tout-à-fait sentimental.
Que vais-je devenir ? dit M. Deve-