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pieds. Je me baissai pour l’examiner. L’homme attendit jusqu’à ce que je l’eusse dans les mains ; alors il remonta par le moyen de sa corde jusqu’au sommet du rocher, et il disparut. À la pierre étoit attaché un papier sur lequel je lus ces mots écrits d’une main contrefaite.
« Votre réputation et votre vie courent également des risques. Ne vous promenez plus ici le soir, près de ces souterrains, ni près de la vieille abbaye. — Ne vous fiez plus à Joe Kelly, — quittez l’Irlande ; le vent vous favorise.
« Tels sont les vœux de votre véritable ami.
« P. S. Partez de votre château demain, et ne dites rien de ceci à Joe Kelly, où vous pourriez vous en repentir quand il n’en seroit plus temps. »