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me jeter sur mon sofa, quand mon domestique, de retour, me dit :
Milord, le forgeron vous attend là.
« Faites-le entrer. » On l’avoit introduit dans l’antichambre.
« Le forgeron est à la porte, Milord ! »
« Ne m’avez-vous pas entendu ? Faites-le entrer, qu’est-ce qui l’en empêche ? »
« Mes sabots, Milord ; je n’ose pas marcher avec sur votre tapis. » En disant cela Christy s’avançoit d’un air craintif et tout surpris de se trouver dans un si bel appartement.
— Est-ce que vous n’êtes jamais entré ici ? lui dis-je.
— Jamais, Milord, excepté le jour où j’ai raccommodé la serrure.
— Cette chambre est belle, n’est-ce pas, Christy ?