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Page:Eekhoud - Les Pittoresques, 1879.djvu/115

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Raymonne


Il couvrit de baisers ce front pur et candide.
Elle n’osait sur lui lever son œil timide,
Ne pouvait lui parler tant son cœur battait fort ;
Mais ils planaient aux cieux dans une extase égale
Que ne défloraient point la volupté brutale.
Peut-être espéraient-ils en ce moment la mort !