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À MADAME JULIETTE FORESTIER-LUCE


Improvisé pendant qu’elle jouait au piano une de ses admirables fantaisies




 
Madame, j’écoutais le piano frémissant
Sous vos doigts créateurs évoquer tout un monde
De rêves embaumés que nulle main n’émonde
Et qui montent aux cieux comme un soleil naissant.