Page:Eggis - Voyages aux pays du cœur, 1853.djvu/196

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En laissant son cœur veuf
Des appétits du bœuf,
Pour un ciel toujours neuf
Fuir les vieilles cités où se meurt la palombe,
— Lorsqu’à bout de désir
L’homme, las de souffrir,
S’arrête pour mourir,
Pour couche n’a-t-il pas le lit frais de la tombe ?