Page:Eggis - Voyages aux pays du cœur, 1853.djvu/84

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La foi dans l’art malgré les cris
De ceux qui vont avec le siècle,
Qui marcheraient sur des cricris
Et se moquent de sainte Thècle ;

Voilà ce qui palpite et vit
Dans tes œuvres éblouissantes
Où l’œil de l’âme se ravit
En visions incandescentes.

Les hommes chanteront tes vers,
Miroir de la terre première,
Aussi longtemps que l’univers
Boira les flots de la lumière.