supposons que l’échelle des 1* représente maintenant les Surfaces suslenlatrices (lig. 71). Toutes les droites qui joignent les valeurs de et S correspondant h une même vitesse V concourent en un certain point de la droite joignant les zéros des échelles ( 1 ) ; en marquant en ce point la vitesse V, on peut construire un second diagramme donnant, par une droite, des valeurs corrélatives de Q. S el V. Sur la planche XXVU. l’échelle des vitesses qui sert pour cette seconde relation est l’échelle de droite.
Kn somme, l’usage du premier abaque est fondé sur la règle suivante : une droite quelconque coupant le tracé donne des valeurs corrélatives de O, I’, S’ et V (échelle de gauche), ou bien des valeurs corrélatives de Q, S et V (échelle de droite).
Prenons pour exemple d’application celui qui est fourni par les droites I) et D, de la planche XXVII : on voit immédiatement que pour soulever un poids de 800 kg et obtenir une vitesse de 80 hnjh, la surface nuisible étant 1 »r, il faut une surface suslcntalrice de 25 nr (droite D,), et une puissance de 35 ch (droite D) (2).
Pour construire le second abaque, il faut supprimer l’hypothèse faite sur K cl Kv. Au lieu des équations (5) et (6), on doit prendre : PÔ.
(<V)
^p=kQu+°^iSi’
i-’-GB’
On voit, on effet, qu’on ramène ec eus au précédent en prenant c = <>.
(2) Cet exemple est celui de ta page 123.