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Page:Eliot - La Conversion de Jeanne.djvu/284

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SCÈNES DE LA VIE DU CLERGÉ

chère. Je ne désire rien tant que de faire quelque chose pour prolonger la vie de M. Tryan, car j’ai bien des craintes à cet égard.

— N’en parlons pas, je vous prie ; cela me fait trop de peine. Ne pensons qu’à préparer la maison. Il nous faut être aussi actives que des abeilles. Comme nous aurons besoin des doigts habiles de ma mère ! La chambre d’en haut fera un excellent cabinet d’étude pour M. Tryan. Il n’y aura point d’autres sièges qu’un fauteuil et un sofa très commodes, pour qu’il soit obligé de se reposer en rentrant chez lui. »