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Page:Elskamp - Dominical, 1892.djvu/39

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d’Anciennement transposé :

I



J’ai triste d’une ville en bois,
— tourne, foire de ma rancœur,
mes chevaux de bois de malheur —
j’ai triste d’une ville en bois,
j’ai mal à mes sabots de bois.

J’ai triste d’être le perdu
d’une ombre et nue et mal en place,
— mais dont mon cœur trop sait la place —
j’ai triste d’être le perdu
des places, et froid et tout nu.