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Mais habituez-vous à voir mourir,
les yeux aux cadrans attendant les heures,
mais habituez-vous à voir mourir,
et faites taire les enfants qui pleurent,
et faites taire ceux qui très-faux chantent
seuls au repas languissant de sept heures ;
et les plus petits des nuits décevantes,
et trop tôt couchés pour avoir sommeil,
mais envoyez-leur les bonnes servantes.
Or, faites venir les femmes qu’il aime,
le dimanche, et qu’il a vues au soleil ;
faites venir vite celles qu’il aime ;
mais prenez pitié du soir de soi-même,
au dimanche qui ne sait pas mourir,
après le départ de Celle qu’on aime.