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Page:Elzéar - La Femme de Roland, 1882.djvu/131

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XI



Stéphane, dans le jardin, faisait quelques pas comme pour fuir Suzanne.

Celle-ci le rejoignit, et se plaçant en face de lui, les bras croisés sur son sein :

— Ainsi, c’est fini ? dit-elle. C’est déjà fini ?

— Oui, dit Stéphane. C’est fini.

— Prenez garde, dit-elle, se mordant les lèvres jusqu’au sang. On ne se joue pas impunément d’une femme qui vous aime.