Page:Elzéar - La Femme de Roland, 1882.djvu/40

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vieux feutre gris déformé par de nombreuses averses.

Le vieux peintre salua Suzanne ; puis, allant à Stéphane :

— Vous voilà de retour, enfant prodigue ? En bonne santé. Allons, tant mieux. Eh bien, et mon vieux Jacques, où donc est-il ?

— Il est sorti. Il sera rentré dans une demi-heure, dit Suzanne.

— Avec votre permission, dit Ephrem, je l’attendrai ici… si je ne suis pas de trop.

— Jamais, monsieur Ephrem, dit Suzanne avec dédain. D’ailleurs, il faut que j’aille m’habiller. Vous tiendrez compagnie à M. Stéphane.

Et elle disparut.

Ephrem ricanait tout bas.