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3o La Variété, revue littéraire. Rennes. 1840 et 1841. Cinq poésies et deux nouvelles de Leconte de Lisle[1].

4o Staaff : La littérature française, tome III, 1870. Aux pages 815 et 816 deux poésies de l’époque de Rennes.

5o Le Journal du 27 juillet au 2 août 1894.

Lettres à Bénézit, années 1845 à 1847,
et une lettre de 1860.

6o La Phalange (revue de l’École fouriériste), années 1845 à 1847. Les poésies de Leconte de Lisle sont dispersées dans cinq volumes différents de la série qui paraissait alors.

Hélène[2] 
 t.  II, p. 176
Architecture 
 t.  II, p. 428
  
La Robe du centaure[3] 
 t.  II, p. 432
Les Épis 
 t.  II, p. 433
La Recherche de Dieu 
 t. III, p.   56
  
La Vénus de Milo[3] 
 t. III, p. 278
Les Sandales d’Empédocle 
 t. III, p. 280
Tantale 
 t. III, p. 282
  1. L’exemplaire de la Bibliothèque nationale est incomplet. En ce qui concerne Leconte de Lisle, une nouvelle et deux poésies manquent.
  2. L’astérisque indique que le poème n’a pas été recueilli par Leconte de Lisle dans les éditions de ses œuvres. (L’Hélène de la Phalange n’a rien de commun avec celle des Poèmes antiques ; d’autre part, l’Idylle antique n’est autre que les Éolides, l’Églogue harmonienne que le Chant alterné, Orphée et Chiron que Khiron).
  3. a et b Suppressions considérables dans le texte délinitif.