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Page:Emile Zola - La Conquête de Plassans.djvu/278

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LES ROUGON-MACQUART.

ne vais plus dormir en paix maintenant. Entends-tu, à la première extravagance de ton mari, n’hésite pas, ne t’expose pas davantage… Les fous, on les enferme !

Elle partit sur ce mot. Quand Trouche fut seul avec l’abbé Faujas, il ricana de son mauvais rire, qui montrait ses dents noires.

— C’est la propriétaire qui me devra un beau cierge ! murmura-t-il. Elle pourra gigoter tant qu’elle voudra, la nuit.

Le prêtre, le visage terreux, les yeux à terre, ne répondit pas. Puis, il haussa les épaules, il alla lire son bréviaire, sous la tonnelle, au fond du jardin.