Page:Emile Zola - Le Rêve.djvu/101

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

saintes dont les blessures laissent pleuvoir du lait. Et le vol blanc des vierges pâlissait les étoiles.

Angélique le regardait toujours. Il leva les deux bras, les tendit, grands ouverts. Elle n’avait pas peur, elle lui souriait.