Page:Emile Zola - Le Rêve.djvu/292

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Puis, d’un grand geste, par toute la chambre, au-dessus de toutes les têtes, il donna les bénédictions dernières, pendant que les Hubert et l’abbé Cornille pleuraient.

Félicien avait pris la main d’Angélique. Et, dans l’autre petite main, le cierge d’innocence brûlait, très haut.