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Page:Emile Zola - Le Rêve.djvu/310

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telles et de perles, la poignée de plumes légères, tièdes encore, d’un oiseau. Depuis longtemps, il sentait bien qu’il possédait une ombre. La vision, venue de l’invisible, retournait à l’invisible. Ce n’était qu’une apparence, qui s’effaçait, après avoir créé une illusion. Tout n’est que rêve. Et, au sommet du bonheur, Angélique avait disparu, dans le petit souffle d’un baiser.


FIN


13901. — Imprimeries réunies, A, rue Mignon, 2, Paris.