Aller au contenu

Page:Emile Zola - Une page d'amour.djvu/406

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
406
LES ROUGON-MACQUART.

cannes. On les attacherait avec les parapluies. Alors, il l’emmena, piétinant, coupant au milieu des tombes. Le cimetière était vide, il n’y avait plus que leurs pas sur la neige. Jeanne, morte, restait seule en face de Paris, à jamais.


FIN