Cette page n’a pas encore été corrigée
NOTE.
Nous avons offert au public une traduction presque littérale de la chronique de Matthias Emmich. Nous avons seulement altéré divers passages d’une crudité naïve, dont ne saurait s’accommoder la délicatesse moderne. Nous rétablissons ici, pour la plus grande satisfaction des curieux, le texte original, qui n’a jamais été imprimé en France.