IV. Toutes les vérités de la religion découlent de la force native de la raison humaine ; d’où il suit que la raison est la règle souveraine d’après laquelle l’homme peut et doit acquérir la connaissance de toutes les vérités de quelque genre qu’elles soient.
Encycl. Qui pluribus du 9 novembre 1846.
Encycl. Singulari quidem du 17 mars 1856.
Alloc. Maxima quidem du 9 Juin 1862.
V. La révélation divine est imparfaite, et par conséquent sujette à un progrès continuel et indéfini qui réponde au développement de la raison humaine.
Encycl. Qui pluribus du 9 novembre 1846.
Alloc. Maxima quidem du 9 Juin 1862.
VI. La foi chrétienne est en opposition avec la raison humaine, et la révélation divine non-seulement ne sert de rien, mais elle nuit à la perfection de l’homme.
Encycl. Qui pluribus du 9 novembre 1846.
Alloc. Maxima quidem du 9 Juin 1862.
VII Les prophéties et les miracles exposés et racontés dans les Saintes-Écritures sont des fictions poétiques et les mystères de la foi chrétienne sont le résumé d’investigations philosophiques ; dans les livres des deux Testaments sont contenues des inventions mythiques, et Jésus lui-même est une fiction et un mythe.
Encycl. Qui pluribus du 9 novembre 1846.
Alloc. Maxima quidem du 9 Juin 1862.
VIII. Comme la raison humaine est égale à la religion