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Page:Encyclopédie méthodique - Architecture, T2.djvu/747

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» née ; car, atii ides de septembre, il s’y wnâi » beaucoup de peuplede tout les pays d’alentour. 1 » Ony inusèbeaucoupd’adaire.,V on y acquitte beaucoup de vœux. Cependantil n’^ a, dant te » voiGnage aucunabri contre te soleil on contre. la pluie. Je ferai donc une œuvre de religion » à la fuis & de ma^nifii-cncc Gj’ajoûte au uon- t veau temple des portique. l’un fera j« ourla a drrtte & Ici autre » a ratage des homme.. » Atnfi je voir.priede m’acboterquatre colounes de marbre (detelle espô ce qu’il vous plaira de a plut, tous lesmarbre » nrceflaires au pave du temple tt a Fîacruftationdes mars, si faudra à avoir auGi unestatue de la djetfe le tetnpi a m-mutilécelle debois qu’un y a voit anciennement » placée- Quantaux portique », je ne pense pas que notas ayoosbefoîn de dire rira venir des » Iteux otk, tousêtes si ce n’est un dclEu conforme » ce qu’exigera le terrain ; car il ne fera pas pos- Gblede lesbâtir autour du temple. Il est cavia roanc d’un côté par le fleuve dont les rives » fimtefeaspecs, & de l’au<repar le chemin. Mais a an-delà de ce chemin est une v.fle Prairie, oû » il meSembleque son nourroil bâtir 1rs portiques en regard avec le temple à moinsque » voir. dontl’art fait vaincre les djfliculie. » n’ayex quelque cause de mieux k we commutûejuer. Adieu. » Pline.le.si ! unearoit hérite1da goût de foc oncle pour les beaux-arts. "Outrès-grandnombrede Cet lettres nous le montrentnon-seulementcommeun amateur iaftruil. mais comme un proteâeur aussi aâif ctiVchurt..Il paroît que sa fortune, d’accord avec son goutte arec frs emplois publics, l’avoît mis a mStmedefavorifcrlesgrands travaux de l’art de haut. Noustrouvons en cl&t qu’ilavoit fuit causermre desbain. pour les ProGcn.dans U ville de Nicom&ne ; qu’il « voit dan » la metneville » réparé Ici douimaees d’un incfudie qui avoit coafume plufiear »œaitotu de narticulicrt, deux 6difiecs publics, on temple d

☞ » & le pilai. qu’il avnit 4hevéun aqueduc pour donner de L’eauà tt ville, tju’il y avoit rebâti un "messe de Cyhcle ; qu’a Ni« ise il avait fait acbcvi.. théâtre à Syftope un aqueducconsidérable & lait voûter à< Aintrftrîs ou ☞ out public.

MtTTIIiER v. a£L Ce mot redit plusvolontiers des oavnjcec de Pour^stireou des stalues >aux. quelles le tempstt les causesnombrvufn de destinction ont faitperdre quelque partie de

☞ tiren » semble. Dan »ce cas onemploie ce mot pour Ici ouvrages d’art, » comme à LVgard des bomuie »que les accident de Lt guerre ont prive. de quelque membre.

On fafertau(Cdu verbemutîter, en arelûteclure, dans deuxcas difC’sens Toitpour exprimerqu’un cbApsicau »qu’un entablement, par racoatpletoa « •te colonne, oat perdu leur intÀ ; rit< ; par te fait des fxtûmei que mille accident diveta ont pu y operer ; rnit lorsqu’onvent exprimer qu’il a l’iit retranche de c : ertaiD~arties contUtuttl’Md’un ordre ou d’un ensemble de pnrit^s, quelqu’un des membresqui les doiventrotapofer.0 Mn& dans ce dernier frn. on dira d’un art-tittrave corinllitcn qu’il t-tl mutilé stil’« >ne : t retranchela faîlllvdra bandasnu m>susure<rotnine l’a faitLctDcrcicrau pt’rifllt> de la S’irbonne. Un entablement fera mutité si’l’on fit rtlranelle lu frife, un si on Tepermet tic le d.Vuuper pour y faire passerde. obicl- »élrattger ». Lue rorniebe Teramusilée, lsion l’interrouiptpar dei croifrfi t comme on le voit, pour en donner un cxem^ik a la comicle de la galerie du Louvre où des chambranle.uticrrompenlïa toutennise.

MUTIUS(Caïo.). Deux p&Isige » de Vurjre, l’un ûû. Z, cap.

☞ l’autre, ttb. b, Pnçfut., nous apprennent que Calât Muitus fut l’air » ; u4lede ce temple delllonoeur 8t de la Vertuqu’avottfuit bâtir MarceUus, celui qui prit Syrucute. Le fuuvenir de ce temples’e(! cot1r~rvé, surtout par la belle id : e qu’il paroîtquesa dispoGtionrctruçoit, puisque voulaut n’unir les deux divinités de nlonoeae tt de la Vertu dans un seul local, ce que les rite » ne penacttoîent pas, Marcellu.en croit ordonné’lcspantes intrneure. de muiêre que l’une conduisoit à l’autre, comme la vertu tacite à l’honneur.

De quelle façon Cents Mutius exécnta-l. ce projet ? Si l’on en er.at Vitrure, il n’y « omîten qu’un temple dix-tors il anroit été divisé sur sa largeur en deux pièce », dont Tunedoonoît eotrôe dans l’antre. Nousdison.que celaparoit’avoir^t« ainsi paisilue, dans le premier passage cité, Vitrure met te temple de l’Honneur & de laVertu1 au nombre des templespéripteres avec l’exci’olion qu’il n’avuilpasde polttewn.Honont &Vu, tutit finepoflicoà %futio.litssia.

Dans te second par&gecité, Mutins anroit frit preuve en couflmifantée temple, d’une grand. tiablictv& d’un savoirprofond dans les ’proportion.soit des cptonne..soit de. profils ; S : j’iFcût « té de marbre, talon Vitrure, on l’ouroil mis au nombre des plus remarquable.édifices autant pour la magniGcenceque pour la boattle de l’art. Çeddaus ce templeque le Càirestaire te décret qui rappela scrron qui dit lui-même 8t de luimême la tçmptollanom&t’strates fatnosha. biUttçffèt rirîuti.

MCTULES. s. f. pl. Ce sont, dan. la corniche do l’ordre dorique, des objets correlpoudans à ceux que nous avons dit s’appelermrhctfontfchoc les Modernes., d’un le.cormcnct de »autre.ordn. ». Le mot instrule, qui ainsqu’on l’a remarqué à l’article Modiixox{rojvz ce mot), étoit le seul en Latinappliquéà tous 1rs ordres, est rette aujourd’hui appliqué au seul ordre dorique. Les instrula fontau uotobrude ces meoibro » de