SOUCHE RONDE. Tuyau de cheminée de figure cylindrique, en manière de colonne creuse, qui sort hors du comble, ainsi qu’il y en a dans d’anciens bâtimens. Ces sortes de souches ne se partagent point par des languettes pour plusieurs tuyaux ; mais elles sont accouplées ou groupées.
SOUCHET, s. m. Voyez PIERRE DE SOUCHET, À l’article de la Pierre de SES according Défauts.
SOUCHEVER, v. agir. Ce est, Dans Une carrière, oter Avec la masse et les pièces de fer la pierre de souchet, pour faire tomber les bancs de pierre Qui sont dessous.
SOUCHEVEUR, s. m. Ouvrier de carrière, sur un support Qui Travaille particuliérement à oter le souchet, pour separer les bancs de pierre et les faire tomber.
SOUDER, v. agir. Attacher, joindre ensemble les Extrêmités de Deux pièces de métal, Soit en les mettant au feu jusqu’a that the Soit métal blanc et presqu’en fusion, et les incorporant salle L’un dans l’autre Avec le marteau, CE qu ‘sur les pratique à l’Egard du fer, Soit en employant la soudure, Ce Qui a lieu à l’Egard du plomb, de l’étain, de l’or et de l’argent.
SOUDURE, s. f. On emploie particulièrement dans le bâtiment la soudure pour le plomb. On fait un mélange de deux livres de plomb avec une livre d’étain, et il sert à joindre dans les couvertures, les tables de plomb ou de cuivre. On nomme cette soudure, soudure au tiers.
En maçonnerie, on entend par soudure, du plâtre serré, dont on se sert pour raccorder deux enduits qui n’ont pu être faits en même temps, sur un mur ou sur un lambris.
SOUDURE EN LOSANGE OU EN ÉPI Grosse soudure, avec bavures en manière d’arête de poisson. On la nomme soudure plate, quand elle est plut étroite, et qu’elle n’a d’autre saillie que ion arête.
SOUFAITE, s. m. Pièce de bois d’comble un, Posée de niveau au-dessous du faîte, Liée par des entre-toises, liernes, ous croix de Saint-André, Avec les fermes.
SOUFRE, s. m. Substance minérale combustible et fusible, Qui, lorsqu’elle is fondue, pénètre DANS LES moindres cavités. On se en SERT Avec Assez d’avantage pour sceller des grilles, des barreaux de fer Dans Les Endroits bas, this Matière n’étant pas sujette A être altérée par l’humidité.
SOULAGER, v. agir. Le SE SERT au figuré of this mot Dans la construction, pour Exprimer l’effet Qui resulte des Moyens Qu’on Emploie, Soit Pour sûr de
partager, plus d’appui des Nations Unies LE POIDS D’une masse, pour Soit opposant Une résistance à la poussée D’une voûte. AINSI sur Soulage poitrail non OÜ non sommier Qui porte le trumeau D’une façade de maison, en Lui Donnant verser soutien de l’ONU Montant ous de fer Ou de bois debout, ous tout Autre. Sur Soulage le mur de la retombée D’une voûte, contrefort Un par sur l’arc-boutant.
SOUPAPE, s. f. (Terme d’architecture hydraulique. ) Platine de cuivre, ronde comme une assiette, avec un trou au milieu, en forme d’entonnoir, dans lequel s’emboîte quelquefois une boule, mais plus ordinairement une autre platine, en sorte qu’elle le bouche exactement, étant dirigée par sa tige, qui passe dans la gaîne soudée au-dessous de la première platine.
La soupape sert dans le fond des réservoirs et des bassins, pour les vider, en l’ouvrant avec une bascule ou une vis, dans le commencement des conduites, pour pouvoir les mettre à sec sans vider les réservoirs, quand on veut y travailler. On met aussi des soupapes dans les ventouses des conduits, pour laisser passer l’air et empêcher l’eau de sortir.
Les soupapes diffèrent des clapets, en ce que ceux-ci n’ont qu’un simple trou couvert d’une plaque, qui s’élève et s’abaisse par le moyen d’une charnière. Les clapets, toutefois, peuvent servir partout où l’on met des soupapes.
SOUPENTE, s. f. Espèce d’entresol, dont le plancher est sormé de chevrons couverts de planches jointes à rainures et languettes, et qu’on pratique dans la hauteur d’étages fort élevés. pour donner aux grands appartemens de petits logemens de commodité.
SOUPENTE DE CHEMINÉE. Espèce de potence ou lien de fer, qui relient la hotte ou le faux manteau d’une cheminée de cuisine.
SOUPENTE DE MACHINE. Pièce de bois qui, retenue à-plomb par le haut, est suspendue pour soutenir le treuil et la roue d’une machine. Telles sont les soupentes d’une grue, qui sont retenues par la grande moise, pour en porter le treuil et la grande roue qu’on appelle à tambour.
Dans les moulins à eau, ces sortes de soupentes se baissent avec des coins et des crans, selon la crue ou la décrue des eaux, pour en faire tourner les roues par le moyen de leurs alichons.
SOUPIRAIL, s. m. C’est le nom qu’on donne à une baie en glacis, pratiquée dans l’épaisseur d’un mur de fondement, dont les deux jouées sont rampantes, pour donner de l’air et un peu de jour aux lieux souterrains. L’ouverture des soupiraux se place ordinairement dans le soubassement des fenêtres du rez-de-chaussée.