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Page:Encyclopédie méthodique - Géographie ancienne - Tome 2.djvu/76

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68 GRÆ GRÆ

Le phtakìstus arrosóit Lycosure eh’aîlàntívèrs : le couchant : il fàlloit le traverser pour aller à Phìgalia. - •’-" ;.’ '-’. " : -"’-"’-" | - Le chemin 311011"en-montant Tespace de trente stades.. - .N ;, ;-_ : - - Phìgalia-étoit située !sor :4iffrdchér :soft’ élèvè’èk fort escarpé. Cette-ville "étòif : considérable ’èk fort j ©rheé.’s ’-'-’ ? : :i- A- - ’ '-’-'i-ì-’i : - ’ -.-,."j-.v i - La rivíèrédë Lymax (c. _fj>)ypassoit auprès dé | la ville -& tomboit dans-ìa Neda,. qui âvoit fa source au mont Cerausius, faisant partiedu mont | Lycavusl. :} "•. ’•"^1i-’"i :-*""’•" ^ :’nr’ La ville de Phìgalia, étoit -entourées de montagnes. ( i ) : à gauche étoit lè mont CoÌylius ;à droite,- i e mont Èlaïus. ••’. ^Lé Cotylïus étoit- à quarante- stade, dé la ville : i c’étoit-là qu’étpit le ville de Baffa.-ìly avoit sor - çé mont ùnë source’ assez" soiblé 0, dons Teàu se perdoit dans les’terres, èk un lieu nòmméCó/y-ô».- . L’Eláïùs n’étoit qu’à trente- stades de Phìgalia. ’. Gny vOyoit uné grotte de Cérès ía Noire. Là grotte étoit environnée d ?un bois fáeréj où-il y ! avoit une source’d'éàut-rès-frbidë.j •--" N. B. En commençant le chapitre 43, Pausaniás- ; dit qtíé sá narration ’(ò’KÓy’of ) -demande qu’il parle de PallántiUrri^ je pense que c’est parce qu’il a, parlé dé toutes lès routés i&k n ?à rien dit deceite ville célèbre par son antiquité èk par lé passage d’Ev’andrè, qui 3 de Pallàntiumalla en Italie. 7% De Megalopolis il y avoit une route qui conduisoit à Pallantiúm,à tegea (c. 44), & jusqu’au lieu appelé Chôma ou la Butte. Sur cette routé, èk tout près dé Megalopolis, ; étoit un village nommé Ladocea : tout auprès avoir j existé autrefois lavillé d’JÏ«n !í)n ?<è,-qui n’étoit plus i qu’un village. • En s’élóignant d’Hâmohia,. sor lá droite du chemin, on voyoit.des ruinés, entre autres celles á’Otestltasium. -- Mais-rsi Ton soivoit le chemin en partant d’Hamonia, on trouvoit d’abord Aphfódifium, puis un ’ autre village inbm’mé Aihenaum. ;i A vingt stades d’Athenaum ©n voyois lés ruines ìYAfea, 8c le lieu élevé (o-Xocp.r^, :où avoit été la citadelle. : J -’" ; ." A cinq stades à-peu-près d’Afea,, èk peu loin du. chemin^ étoit la source : de TAlphée, tpuis ; celle de TEurotas (i). (1) Je ne fais pourquoi M. l’abbé Gédoyn masque ici fe division du chapitre -42. ;il.ne commence dacs l’auteur Jjrec que beaucoup plus bas, aux motst.-íí s-ripoyTSI, •far. T. E’Koiiçv, &c. v.e qui commencé, dans lâ traductionde M.-.Tábbéí le deuxième alinéa-. ; ; - - •’ (2.) Je ne place pas dans,le texte une opinion dè9 an-, ciéns quiTiç me paroît pastrop.admissible-,- & que rap* porte Pausaniás.. tes sources dont il’ parle couloient d’âbBrdrfépárément^puis’mêlarríleitrS’Jeaux ; ; Cì p’f'éeípt- ’ 1 -òienrsoTJS terri : :_que ces eaux réunies euffén’r.’erlYmte ; . i repar’uipOW :fóïmeri :urldés’ íéi» ^flcuví’s,-cel ;l se-peut’ ; ; | mais qu’*lîés se iTôientsép^ffesíjíò’iifífofrneï ensuite,,d’.unv ; ’ 1, Depuis Afea, le chemin alloit toujours en montant jusqu’au mont Boreus 011Boreas. ^ . i -C’éfoit-là que se tfoùvoit le Tieu ;appelé Çhoma.» servant de bornes entre les Mégalopolitains-,,les ; : Xégéares,§-.lesPa}}antiên’s. :. .-.•’- :’ : ív ; ’"•., .1 .’" | Sur ía gauche étoit une plaine, qui conduisoit, ! k}Pâila’ntìùm. *.’ ;>• Vi ".". : "• :•.• •.••’..". \ J-• •’ ?.. ; ’-Pallantiúm avoif éíé une ;yiuerçé}èhré. IJ y ayoi^, j auprès Une ; éminence., ; sor laquelle ;fivoit été- là : citadelle. :. :, ;,’.. - : -.’.- :, .•’ - -, Á la droite, du lieu- appejç Ck$ma étoit la. plaine ! dé’Mánthúrie (we&íw.’tç’ù.rìM^ovpiMv),. pu plaine Manthurique. Òn entroit sor le territoire de :,<Tegea-,.qui 1étoit ;’à : cinquante, stades (3),. ._ En approchant de la ville, on avoit, sor la droite ; du chemin.,’le-iti.or.-t Cfefifu.-’.,~ :,’ : J ’ Tegea étoit une ville ancienne, èk sort riche eq m.óh.um’ens-. .,’ ;. . ;,’ ;.. ;, ! .’, .-" i’-,~. . .. ’ ;..’" ; v-. Sur le chemin qui conduisoit de.Tégée dans la> Laconie, ; orí -trouvoit d’abord : des autels èk quêl- ! ques autres monumens. . • Cette rinite :all’oit jusqu’à l’Alphée, qui, de ce ’ côté, servoit de limites entre les Lacédémoniens : .& lès Tégéates.’ ' "’ •" -’."-- L’Alpheus ou TAlphée commençoit à pafoître ;. pour la : première fois ;, près de Philace, touchant au mont Parnon : H recevoit quelques petits ruiíV féaux, : puis so précipitoit én terre r dans un lieut du. territoire de Tégée \ & par çette raison avertie noiu de Symbola (4). .Ensuite, il : reparoistoit vers Afea, èk •peu après, mêloit ses eaux avec Celles de YEurotas.A quelque distàncèiidisparoiffoit de nouveau,ík puis se remon* tróit’dáns un lieuappelé/’o/2>’fí pu les fontaines (5). . ; N. B. Routes de’Tegea vers TArgolide. . ; i°. Sur : le chemin qui conduisoit à Thyrea (en Argolide ) èk aux villages qui étoient du même, côté Í il y àvòic eu la -sépulture d’Oreste. Le chemin étoit d’abord le long du fleuve G_tteatìs (6) ;.’quand oh ayoit traversé ce fleuve, on trouvoit, à dix stades de Tégée, un temple de Pan èk un> chêne qui lui étoit consacré. a ?. Quant au chemin qui conduisoit à Argos^. il étoit beau èk commode pour les voitures de transports. Gn :renc :òntroit sor le chemin plusieurs monumens. Enfin.,, ou arrivoit. au mont Parthenìusj ; *- :--"-• !-..-’ " " " côté,, í’Alphéey de .l’autre, à travers les montagnes ; le, flèuv-eT-urotás ;."c’estce que je ne puis croire. Et pour-. quoi ne pas croire que ces montagnes même en renfer- rnòiént’la foùrcé > . ."•,. ; - : -, (3.)L’abbé Gédoyn dit à trçnte stades-,c’est-une erreur ;. (4) De eSt& de ^«XÀ» ’,.c’est-à-diré, quLse jettent ensemble. . ( :5v Pausaniás rre continue pasvde décrire le cours de : l’Alphée ; il parle- feulement : des terres qu’il partagepit : en<-Elide, de son embouchure & du chemin qu’il faisoit : isous terre pour- álìer-joindre. :én ;Ski-le ;Ia fontaine Aréíthuse ; _’ ... í :(óV J ?á"dmet«là ; correction de Sylburge. IVoyeZ-en la- : raiìbn,Ji>a«/.^_jg ;. ^op.j.à la dernière note