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Page:Erckmann-Chatrian — L'ami Fritz (1864).djvu/137

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L’AMI FRITZ.

en bouteilles, et si le maître est là, son devoir est de l’offrir.

« Où diable ai-je la tête depuis quelque temps ? se dit-il. Je suis toujours à rêvasser, à bâiller, à m’ennuyer ; rien ne me manque, et j’ai des absences ; c’est étonnant… il faudra que je me surveille. »

Cependant, comme il n’y avait pas moyen de faire revenir Schweyer, il finit de mettre son vin en bouteilles lui-même, et les choses en restèrent là.