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Page:Erckmann-Chatrian — L'ami Fritz (1864).djvu/349

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L’AMI FRITZ.

comme le serviteur d’Abraham, Éléazar, chez Laban : cette affaire est procédée de l’Éternel. »

— Bénissons la volonté de l’Éternel, » répondirent Christel et Orchel d’une seule voix.

Et depuis cet instant, il fut entendu que le contrat serait fait le lendemain à Hunebourg, et que le mariage aurait lieu huit jours après.