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doit passionner ici-bas tout homme de bien, afin que le
droit barbare de la force fasse place de plas en plus à la
force salutaire du droit. La langue française est assez belle
et assez forte par elle-même pour n’avoir besoin de s’atta-
quer à aucune des littératures plus humbles qui peuvent
concourir aussi au bon renom de la patrie.
Voit-on que les fleurs des pelouses Meurent a l’ombre du rosier