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Page:Ernault - Gwerziou Barz ar Gouet.djvu/153

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Je le dis par pitié pour vous, il n’y a pas pire régime que de vivre nuit et jour dans la crainte d’être étouffé par la faim ;

De rester inquiet, incertain, sans manger morceau à votre plaisir, et d’être obligé de batailler… pauvret, Venez avec moi, vous serez si tranquille !

− Que me faudra-t-il donc faire ? − Peu de chose : chasser ceux qui sont près du logis, à rôder, la nuit, avec leurs bâtons ;