Page:Ernest Cœurderoy - Hurrah !!!.djvu/345

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» Ainsi que cela est écrit. Afin que la Seine passe libre au milieu des campagnes et qu’au loin se puissent entendre et le cri matinal du coq et les aboiements des chiens de ferme !

» Et voici : les hommes oublieront Paris comme ils oublient tout ce qui tombe, et ils viendront en foule habiter la nouvelle capitale ;

» Et cette Capitale attirera les regards du Soleil par son étendue, le bruit de ses travaux et le déploiement merveilleux de ses richesses !

» Car, de même qu’il faut un cœur tout nouveau à l’homme qui revoit le jour, de même il faut une métropole neuve au milieu des peuples régénérés....

» — Déployez vos étendards, Slaves vaillants ! Jetez les fortes rênes sur le cou des chevaux agiles ; que l’acier de vos armes fasse pâlir le jour. Et remplissez les airs de vos chants de victoire ! —

» Hurrah ! »




VISION XI
Fin des derniers des Bourgeois et du dernier des Bonaparte.


« Hierro ! despierta te. »
(Fer ! réveille-toi !)
El Romancero.


Il continue, le Fléau des nations :

« Si les Civilisés veulent tenter un combat suprême :

» Alors que les hommes se saisissent corps à corps ! Que