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Page:Erosmane - Lubricités, récits intimes et véridiques, 1891.djvu/24

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LUBRICITÉS

années, au bout desquelles le nabab B., ayant enfin mis le prix à la chose, s’offrit le plaisir de dépuceler celle qu’on avait surnommée la Jeanne-d’Arc à la pompe, en plongeant son braquemart millionnaire entre la vulve de ce con, virginal sans doute, mais bougrement pollué !

— Aujourd’hui, cette spécialité n’en est plus une, il n’est guère de bordel un peu bien tenu dont toutes les pensionnaires ne sachent sucer convenablement une pine, en avalant même souvent le foutre.

― La seule baronne d’Ange en conserve le monopole exclusif.

— Oh ! à propos de cette suceuse émérite, connaissez-vous le mot délicieux que le spirituel chroniqueur A. S…, a fait sur elle ? dit un de ces messieurs,