Aller au contenu

Page:Erosmane - Lubricités, récits intimes et véridiques, 1891.djvu/60

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
56
LUBRICITÉS

Le cocher fouetta son cheval, qui partit vivement.

— Vous, mon petit, dit-elle à G…, vous allez commander le souper pour quatre, que Brebant fera servir chez vous. C’est à deux pas.

Le souper demandé, nous partîmes en effet chez mon ami, qui occupait, non loin de là, passage Verdau, un appartement qu’habitait avant lui l’auteur dramatique W. B…

À peine étions nous arrivés que notre quatrième convive apparaissait. Quelle ravissante surprise pour moi ! C’était l’adorable et mignonne divette Th…

Je ne vous raconterai pas notre souper ; ce n’est pas cela qui vous intéresse. Je ne vous dirai pas davantage le nombre de coups que je tirai sur le lit d’ami