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Page:Erosmane - Lubricités, récits intimes et véridiques, 1891.djvu/65

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TRIBADES AUTHENTIQUES

ble cul rose, dont les fesses grassouillettes auriolaient une chevelure s’éparpillant sur des cuisses rebondies et nerveuses en un enivrant tête-bêche féminin.

Aucune expression ne saurait dépeindre l’ardeur de titillation mutuelle de ces deux langues lesbiennes qui, avides et acharnées sur leurs clitoris gourmands, causaient à chacune de nos tribades, des transports frénétiques, inoubliables quand on en a été témoin.

Leur fureur clitoridienne se traduisait par des spasmes voluptueux, des exclamations à demi-étouffées, mais non simulées, celles-là, je vous en réponds.

— Ah, mon trésor, que c’est bon !

— Encore ; toujours !

— Je me pâme !