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Page:Erosmane - Lubricités, récits intimes et véridiques, 1891.djvu/73

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EN PROVINCE…

Si l’on rencontre autant de putains à Paris, c’est que la province nous en approvisionne.

Certes, la majorité des femmes que nous baisons à Paris ne sont pas nées dans le département de la Seine, mais bien dans toute l’étendue du territoire français ; de Nice à Quimper et de Nancy à Bayonne.

Nos Vénus mercenaires, ou autres, sont en grande partie des filles de province dont le con baille vainement là-bas, et qui, lassées d’une masturbation bébête dont tout l’effet est d’accroître énormément les appétits charnels de leur vagin goulu, arrivent en foule à Paris, au grand soulagement des pines en rut, bien heureuses de trouver tous ces aimables cons disposés à les satisfaire.