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Page:Erosmane - Lubricités, récits intimes et véridiques, 1891.djvu/92

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LUBRICITÉS

est surtout l’heure des amours, l’heure des chaudes caresses, l’heure où les vits folichons se livrent aux libations chères à Vénus, ou les cons altérés de foutre pompent avidement l’effusion de cette liqueur testiculaire entre leurs nymphes vaginales par l’ineffable étranglement du gland, cette contraction spasmodique si appréciée des baiseurs : le casse-noisette enfin.

Minuit !

Le concert vient de finir.

Non loin de la salle de théâtre, d’où le public sortait à peine, un hôtel magnifique s’élevait, et s’élève toujours. Sur ces murs on pouvait lire alors : « Pour cause de départ, hôtel richement meublé à vendre ou à louer ».

Vers le dit immeuble s’acheminaient,