Page:Espronceda - L’Étudiant de Salamanque, trad. Foulché-Delbosc, 1893.djvu/58

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l’apparence d’une femme, revêtu d’une mystérieuse tunique blanche, le diable était enfin venu chercher Montemar !… Et si tu dis, lecteur, que c’est une fable, comme on me l’a contée je te la conte[1].


  1. Y si, lector, dijerdes ser comento,
    Como me lo contaron te lo cuento.

    Ces deux vers qui terminent le poème d’Espronceda sont de Sébastian de Castellanos.