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Page:Etienne Falconnet - Oeuvres complètes, tome 1, 1808.djvu/82

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m’accuſer d’erreur ſi je ne démontrois pas qu’il ſe trompe dans quelques endroits où nos interprétations différent. Quant à ce qu’il adopte en ſilence quelques unes des miennes, c’eſt une juſtice trop flatteuſe de la part de cet illuſtre ſavant, pour que je ne m’en glorifie pas : la preuve de ce que j’avance eſt dans ſon livre & dans le mien.

Il me reſte à dire qu’en Ruſſie, en Hollande, en Suiſſe, à Paris, des hommes habiles ont bien voulu m’aider de leurs conſeils dans quelques unes des parties de mon travail, ſur-tout dans celles qui ne concernent pas ſpécialement l’art ; je me fais honneur de le déclarer ici.