L’Vnite, eſt ſelon laquelle une chacune des choſes qui font, eſt appellee une.
Euclide ayant traitées és 6 livres précédents de la premiere partie de Geometrie, ſç avoir eſt de celle-là qui conſidere les plans, auparavant que venir à l’autre partie, laquelle traite des ſolides, il explique en ce ſeptieſme livre __ és deux ſuivants, les proprietez et affeċťions des nombres, pour puis apres trai pour puis après traider au t Q.iiure des limes commenjhrables gf tncommenfarables, m parfaidecognoijfance desproprieteTjdtsfélidés. Euclitfftme parlesprincipes, if definit premièrement que ■da fiUtnqmy toute chofe qui efi Je nomme vne : &rr tfiume de dire vnepierre » vn animal, vn corps,x^e. Mais efi i noter que tout ainfi qu en la Géométrie le fond na aucune partie efiat inii’uifible , aufii es nombres l*
itdtte reçoit aucune dtuifion, maisefiindtuifiblefilon «ofire autheurtlequtl fia ejgard-en ces Eltmsns-cy qu’aux nombre senti ers- mais nous fi somdrons aufii quelque chofi des fiadionf G ? nombres rompus,afin de fai^e voir que tou* Euclide.
z ; Nombre,, eft vne multitude compolee de plufieurs vflitez. . ’ : : ‘ ’
& coke dion c
iljrad’v-
niiezjjm le conflituent : de forte que l’vnité efi la partie de chaquenombre dejnommée parle mefite nombre duquel elle eft partie : comme le nombre 4 çempojede quatre vni-’t <^, fi âiuifi en autant de parties,fiauo’tr efi en quatre vtoitesç » chacune defqueiles efi dtde qmttiefhe partie du nombre^, jtinfi aufii le nombre itcompojede vingt mi*