servant les localités intermédiaires, réseau complété par d’autres voies qui rattacheraient circulairement ces mêmes localités entre elles.
3o Exécution d’un système de drainage à ciel ouvert pour le desséchement et le reboisement des marais et des nauves, système consistant à relier par des saignées tous les marécages à ces milliers de ruisseaux, ruisselets et fossés qui portent leurs eaux, directement ou indirectement, aux deux grandes rivières longeant la Double.
4o Construction de fours à chaux communaux pour l’amendement du sol.
5o Plantation de vignes, afin de remplacer par du vin l’eau malsaine dont s’abreuvent les malheureux paysans, et, à cet effet, primes données aux planteurs.
6o Établissement d’écoles dans toutes les communes.
7o Érection en canton, avec Échourgnac pour chef-lieu, des dix ou douze communes centrales de la Double ayant des intérêts solidaires et association agricole de ces communes.
Lorsqu’il eut achevé sa copie, le docteur en fit un paquet à l’adresse de M. Pépin de Bellisle, préfet de la Dordogne, et, l’ayant mis au bureau de poste de Mussidan, attendit, plein de confiance.