Page:Evariste Huc - Empire chinois ed 5 vol 1.djvu/36

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penser qu’on voudra bien avoir confiance en notre sincérité, et nous dispenser d’employer, en ce moment, le langage que le célèbre Marco-Polo crut devoir adresser à ses lecteurs, en commençant son intéressante relation : « … et por ce metreron les chouses veue por veue, et l’entandue por entandue, porce que notre livre soit droit et vertables sanz nulle mensonge ; et chascun que cest livre liroie ou hoiront, le doient croire, por ce que toutes sunt chouses vertables[1]. »

Paris, 24 mai 1854.
  1. Recueil des voyages de la Société de géographie, Voyage de Marco-Polo, t. 1, p. 2.