Page:Evelyne, Aventure et intrigues d’une miss du grand monde, T1, 1892.djvu/40

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 36 —

toilette, et lorsque je fus couchée, je priai Sophie d’éteindre les lumières, et d’avertir Frédéric qu’il pouvait venir me rejoindre. Lorsqu’il fut près du lit il se pencha et chercha mes lèvres, je les lui offris et le priai de se coucher immédiatement. J’étais tournée du côté gauche, ma chemise lovée jusqu’à la poitrine, mais je me retournai du côté droit de façon à ce que mon dos fût de son côté, et prenant sa main gauche, je la maintins tout contre mon derrière, et d’une de mes jambes j’enlaçai les siennes, tout en lui souhaitant une bonne nuit. Mes fesses touchaient son ventre, et je sentis tout à coup une petite chose dure qui se pressait contre elles. Je restai immobile, voulant que la nature fut la seule coupable dans cette action, mais j’étais si excitée en sentant sa petite pine dure et raide toucher mon con brûlant par dessus la chemise, que je brûlais du désir de la recevoir. Frédéric souleva sa chemise d’une main timide, craignant de m’offenser, resta quelques minutes sans bouger, puis, voyant que je ne remuais pas, il fit un léger mouvement en avant, qui plaça sa pine entre mes petites lèvres, je levai ma jambe gauche en avançant le derrière, ce qui fit entrer toute la tête de son vit, il fit un nouveau mouvement en avant, et il se trouva enfoncé jusqu’à la racine.

— Ma chère Eveline.”

— Mon cher garçon.”

— Quelle sensation divine !”

— Oh ! mon cher Frédéric, pousse, encore…