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Page:Explication historique des fables - 1715 - T1.djvu/458

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424 {{sc|Explication historique, &c]].

voisins ^. Comme il* en étoient 1*, on porta à l’Abbé an paquet y ic il fut oblige de quitter la compagnie pour y aller faire réponfe. Aicidon pendant oo temps- là demandai Eliantefiellenétoiu pas rebutée dts difeuffions qui etoient* jnféparable* dd cette matière. J’aime, trop , dit -elle , à apprendre ce qu’il y * de plus enricur fur un fujet fi itnpor-’ tant , pour ne pa* pafler fur la fechereflfor de quelques-unes éenor converfationsv Apres -tout •, continua- 1 elle , il- eft dif- ficile de mieux humanifer les fujets lesr plus épineux , que fait l’Abbé ; & C* Uethodequi pourrait contenter les plur- difficiles-, neft pas audeâiis de la portée des moins fa vans.

  • Voie» fur tout Us tivres Jet Rois, cetrx der

f krâlipotnencsSc les Prophètes. On a renfermer }» plus grande partie de ces- Dieux de ’SMnaridT dans ces quatre Vers.

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Fin du premier Volumes.