Page:Eyraud - Voyage à Vénus.djvu/303

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
295
VOYAGE À VÉNUS

dans une de ces rêveries profondes qui lui étaient habituelles. Il lui semblait voir encore les belles contrées de Vénus et sa divine Célia.

— Pauvre fou !… dit Muller en le regardant avec une douloureuse sympathie.


Quant à Léo, il y avait déjà longtemps qu’il s’était endormi.


FIN.