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Page:Féret - L’Arc d’Ulysse, 1919.djvu/106

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Un sire emmi mes grands papas ?
Ah ! dit Roinard, n’en parlez pas.
Landerirette.
Pour un des Trente quel décri !
Landriri.

Pour Fleuret, des ducs de Penthièvre
Il garde ce pli de la lèvre,
Landerirette !
Et cette fougue de l’esprit,
Landriri.

D’Henri Beauclerc, le roi Anglais,
Descend droitement et sans plaids
Landerirette
Le très subtil Beauclair (Henri)
Landriri.

De quel roi Polache est issu ?
— C’est par les roseaux qu’on l’a su,
Landerirette !
Du roi Midas sans contredit.
Landriri[1].

  1. Note sur les Poètes cités :

    Boulen (Ch.) Auteur des Voyages à travers la Couleur Locale (chez Rey).

    N. Roinard, Nos plaies, La Mort du Rêve, Sur l’Avenue sans fin, Les Miroirs (Édition de la Phalange).

    Henri Beauclair, l’auteur d’Adoré Floupette.

    Fernand Feuret, auteur de Friperies, Le Carquois de Louvigné du Désert, Falourdin, etc.

    De Polache : « Mes Aumônes », Confidences de ma Main droite à ma Main gauche, Les guillemets interrompus, Les retards de ma toquante, etc.